Magwa Dogz Asso. présente brutalement et bruyamment:
Jeudi 20 Octobre 2011 à 21:00
Raymond Bar
2 rue Pré la Reine
63000 Clermont-Ferrand
P.A.F. 5€
http://www.myspace.com/raymondclermont
Bastard Noise (Claremont, Ca, Usa) Ex Man Is The Bastard
Experimental Noise/ Grindcore/ Powerviolence Gods
The Bastard Noise a été formé en 1991 par Henry Barnes, W. T. Nelson et Eric Wood, c'était au départ un projet parallèle du groupe de powerviolence Man Is The Bastard.
C’est difficile d’imaginer qu’un groupe qui jouait soit super vite, soit super lentement (jamais de midtempo), avec deux basses et des titres comme « Screwdriver in the Urethra of Thomas Lenz », ne soit pas devenu énorme dans les années 1990. Ils écoutaient quoi, les jeunes, à l’époque ? Pearl Jam ? Technotronic ? Putain.
Eric Wood a joué dans pas mal de groupes, de Pillsbury Hardcore et Pissed Happy Children en passant par Man Is the Bastard et Bastard Noise, et il a contribué à l’un des plus gros changements dans le hardcore punk le plus extrême de ces quinze dernières années. Si le mouvement powerviolence venu de la Côte Ouest a tout changé, c’est en grande partie grâce à Wood.
Avec leur boucan bizarre craché par des baffles faites maison par Henry Barnes, les projets de Bastard Noise se sont toujours démarqués de leurs contemporains. Une esthétique simple et brutale, des slogans politiques, les projets de Wood portent le sceau d’un travail acharné qui a permis au groupe de tenir la route des années durant, quand les autres bandes perdaient leur souffle et abandonnaient les unes après les autres. Comme Crass avant eux, les groupes d’Eric proposaient une alternative réjouissante à un monde moderne noyé dans sa propre merde. Peut-être que dans cinquante ans, dans une autre dimension, on leur rendra les honneurs qu’ils méritent. Pour l’instant, Man Is the Bastard reste l’un des groupes inconnus les plus importants.
Bien que The Bastard Noise utilise beaucoup d'instruments, le projet s'est singularisé par le choix d'un son unique généré par leurs appareils fabriqués-maison spécialement dans ce but. Des gadgets electro-accoustiques comme "the Coil", des joysticks de borne d'arcade cassées en guise de controleurs et un vaste choix d'instruments analogiques furent inventés et fabriqués par Henry Barnes et W.T. Nelson pour créer le son tellement reconnaissable de The Bastard Noise. Récemment le projet est revenu aux sources d'un répertoire powerviolence/progressif avec des instruments traditionnels comme une basse , des claviers et une batterie.
Le groupe a enregistré plus de 100 disques sur différents labels underground mondialement connus (ou pas) tels que:
Alien8, Deep Six, Gravity, Ground Fault Recordings, Hear More!, Helicopter Records, Housepig, Kitty Play, MSBR Records, Relapse, Thumbprint Press, Triage and Vermiform partageant des splits avec des gens aussi différents que Merzbow, The Locust ou Spastic Colon.
Vous êtes prévenus, il s'agit d'un groupe culte...
Lire l'interview d'Eric Wood:
http://www.viceland.com/fr/v2n11/htdocs/eric-wood-158.php
http://bastardnoise.org
http://www.myspace.com/mitbnoise
https://www.youtube.com/watch?v=-wXRkAdtqzU
Dysmorfic (Mantova, It)
Grind as Fuck/ Antisocial Noisecore
On ne sait pas grand chose sur ce groupe italien si ce n'est qu'ils jouent une sorte de de musique très rapide, agressive et distordue, connue sous le nom de grindcore depuis l'automne 1998. Les thèmes abordés sont les dures réalités de la vie quotidienne, notre société moderne et la politique. Cela sonne comme un flingue chargé droit dans ta face, baiseur de maman (c'est eux qui le disent, tout au moins).
Ils ont à leur actif un album, un EP et plusieurs splits dont un avec Agathoclès (mais qui n'a pas fait de split avec Agathoclès dans cette scène?)
http://www.myspace.com/dysmorfic
Abstract (Clermont, PDD, Fr)
Local Grind Heroes
Le come-back chez Raymond des rois du Glam Grind de Dark City.
http://www.myspace.com/abstractgrind
Seulement 3 dates en France pour ce Skulldozer Tour!